Fonds Pierre Fleygnac
Voir en plus grandFonds Claude Rochais
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Voir en plus grandFonds Claude Rochais
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Voir en plus grandFonds Claude Rochais
Voir en plus grandFonds Didier Lorioux
Voir en plus grandFonds Michel Lacombe
Voir en plus grandFonds Didier Lorioux
Voir en plus grandFonds Didier Lorioux
Voir en plus grandFonds Didier Lorioux
Voir en plus grandFonds Michel Lacombe.
Voir en plus grandLes contraintes techniques et matérielles, les difficultés à trouver des endroits pour pratiquer font paradoxalement souffler un vent de liberté, c’est pour ces jeunes l’heure de l’émancipation. Créer ses propres morceaux permet de s’affirmer. De même, jouer en concert devant un public, ce qui n’est pas chose évidente pour chacun. Tous n’y prétendent pas, pour certains la musique demeure un plaisir personnel, un loisir passionné.
Toutefois, lorsqu’un groupe se produit en public, de nouvelles contraintes apparaissent. Les lieux où jouer ne sont pas légion, le matériel nécessaire pour sonoriser un concert est quasi inexistant sur le territoire. Il faut alors à nouveau se débrouiller, imaginer des salles de concert et fabriquer du matériel. Les premiers locaux sont les salles de répétitions des groupes qui jouent alors principalement devant leurs amis.
Les concerts se déroulent souvent dans des lieux détournés de leurs fonctions premières. Maisons des Jeunes et de la Culture (MJC), réfectoires de Foyer de Jeunes Travailleurs (FJT), salles polyvalentes communales, café-concert, lycées… en sont sans doute les exemples les plus caractéristiques.
Dans les années 1960, les surprises parties sont pour les groupes de rock l’occasion de jouer devant leurs amis tandis que les boîtes de nuit organisent dès les années 1970 des concerts de rock afin d’attirer une clientèle de jeunes.
Les festivals qui ont essaimé dès le début des années 1970 participent aussi de cette logique.