fonds Pierre Fleygnac
Voir en plus grandfonds Claude Rochais
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Voir en plus grandFonds Pierre Fleygnac
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Voir en plus grandFonds Pascal Demailly
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Voir en plus grand« Le problème à l’époque, c’était pour les lieux de répétition parce qu’on n’avait que les mobylettes pour se déplacer. Il n’était pas rare de se retrouver à deux dessus avec l’ampli au milieu et les guitares dans le dos. On répétait chez les éclaireurs de France. C’était un hangar en partie en préfabriqué. C’était solide et confortable mais il n’y avait pas de chauffage. On s’était fait virer une fois par les voisins du quartier [du Chambon à Laguenne] parce qu’on faisait beaucoup trop de bruit ».
Marc Kerjouan
La question du local de répétition est une préoccupation fondamentale de la pratique musicale. Il est la base de l’existence sociale du groupe comme entité autonome. C’est l’espace dans lequel se produit du « jeu collectif », pour reprendre une expression du champ sportif, mais aussi un espace de sociabilité.
À Tulle, on note quelques actions de soutien de la municipalité. Dès la fin des années 1970, suite aux sollicitations de musiciens, des locaux situés au Centre Culturel et Sportif (CCS) sont mis à disposition pour les répétitions. En général, les musiciens estiment qu’il était assez simple de trouver un local même si celui-ci était la plupart du temps inadéquat en termes d’isolation et de confort acoustique. À Tulle, c’est bien plus tard, en 1994, qu’un local de répétition géré par l’association Accords et cris, spécialement conçu pour la pratique des musiques amplifiées, ouvre ses portes.