Mémoires électriques

Faire des concerts

Fonds Pierre Fleygnac

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Fonds Claude Rochais

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Fonds Claude Rochais

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Fonds Claude Rochais

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Fonds Claude Rochais

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Fonds Claude Rochais

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Fonds Claude Rochais

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Le groupe de Brive Sylvie Flash Gang en concert, fin des années 1970

Le groupe de Brive Sylvie Flash Gang en concert, fin des années 1970

Fonds Michel Lacombe

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Concert du groupe de Tulle Dékap-Four<br />
au Mille Club (Tulle), 1978.

Concert du groupe de Tulle Dékap-Four
au Mille Club (Tulle), 1978.

Fonds Didier Lorioux.

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Fonds Bernard Comby

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Bertin Meynard, sonorisateur de Jean-Luc Roudière pendant une séance d’enregistrement, début des années 1980.

Bertin Meynard, sonorisateur de Jean-Luc Roudière pendant une séance d’enregistrement, début des années 1980.

Fonds Jean-Luc Roudière.

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Pierre Fleygnac, guitariste du groupe Molybdène à la technique son pendant le festival Rock place du Foirail à Tulle, 1981.

Pierre Fleygnac, guitariste du groupe Molybdène à la technique son pendant le festival Rock place du Foirail à Tulle, 1981.

Fonds Claude Rochais.

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Fonds Claude Rochais

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Visavis

Visavis

Fonds Pierre Fleygnac

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Se structurer

« On avait créé Star Flipper. C’était une association pour se produire au départ et pour produire d’autres concerts de groupes qu’on avait rencontrés sur des festivals comme on avait du matériel de sonorisation. On avait organisé un concert qui s’appelait  »C’est de la merde ! ». Il avait eu lieu dans la salle de basket du centre culturel et sportif de Tulle. C’était notre sono, nos éclairages. […]. »
(Bertin Meynard)

Les témoignages recueillis montrent aussi l’importance des phénomènes d’autoproduction chez les musiciens. On note déjà l’existence de tremplins et concours de rock. Ces derniers sont pour les groupes un moyen de se confronter artistiquement à un public, à un jury ou à leurs pairs. C’est aussi l’occasion d’acquérir une plus ample notoriété. En effet, certains ont pu par ce biais se produire au Golf Drouot à Paris ou au Printemps de Bourges, considéré comme une forme d’aboutissement dans une carrière de musicien.

Pour se faire connaître, ces groupes de rock doivent se donner eux même les moyens de se structurer. Ils produisent ainsi leurs propres documents de communication, affiches, flyers ou press-book (dossier de présentation du groupe). L’enregistrement en répétition ou en concert d’une « démo » ou d’une « maquette », souvent sur cassette audio, leur permet de diffuser leur musique et de démarcher les lieux qui organisent des concerts. La réalisation d’un vinyle 45 tours ou 33 tours est un aboutissement. Objet « sacré », il est un indicateur que le groupe a atteint l’échelon supérieur en terme de structuration et qu’il entre « dans la cour des grands ».